Que reste-t-il des années SIDA ? Ce mois-ci, encore un film culte, à voir ou à revoir : « 120 battements par minute », le film aux 6 césars, sorti en 2017, et qui retrace le combat d'Act UP, pendant les années SIDA.

Dans le New York des années 1950, Therese, jeune employée d’un grand magasin de Manhattan, fait la connaissance d’une cliente distinguée, Carol, femme séduisante, prisonnière d’un mariage peu heureux. À l’étincelle de la première rencontre succède rapidement un sentiment plus profond et les deux femmes se retrouvent bientôt prises au piège entre les conventions et leur attirance mutuelle.

Les microbes tuent chaque année 14 millions de personnes dans le monde. Comment empêcher ces tueurs en série d'agir, et avec quelles armes ? Marina Carrère d'Encausse part à la rencontre de celles et ceux qui traquent virus et bactéries partout dans le monde. De la forêt amazonienne aux laboratoires de l'Institut Pasteur, elle lève le voile sur les grands défis de notre époque : le réchauffement climatique, la propagation des virus, ou la sécurité alimentaire et décrypte également les découvertes les plus porteuses d'espoir.

4 élèves parmi les 50 de la première année de formation de moniteur éducateur. Ils ont fait le choix de ce métier, par engagement, vocation.

Dès les années 1950, de grands ensembles sortent de terre en un temps record. Les cinéastes qui n'ont jamais cessé de filmer les quartiers populaires s'y rendent pour explorer ce phénomène nouveau. Malheureusement, les utopies sociales de mixité et de vivre ensemble s'effondrent rapidement et le cinéma ne manque pas d'en être le reflet. En 1995, La Haine devient une référence et fixe les codes d'un genre désormais identifié : le film de banlieue. Les réalisateurs continueront alors d'être le relai de ce qui se passe dans ces territoires abandonnés par les gouvernements successifs.