Dans L’Ombre des mères, la réalisatrice Murielle Labrosse nous fait part de ses difficultés à adopter les codes de bonne conduite maternelle. La naissance d'un premier enfant la plonge dans la tourmente. Au fil des jours, l’illusion d’une maternité parfaite cède la place à la tragédie. Son récit, ponctué de témoignages d'autres femmes, évoque l’ambivalence maternelle et nous révèle une part plus sombre de la maternité.

Julia a ouvert sa porte à Abdelhaq, un jeune exilé tchadien. Cette rencontre a bouleversé sa vie et celle de sa famille. Pourquoi n'a t'elle accueilli personne avant lui ? Quelles sont les peurs qui nous freinent là où la solidarité fait du bien ? Elle a choisi de partir à la rencontre de ces femmes et ces hommes qui tendent là main aux exilés et aux plus précaires.