Le 13 novembre 2015, un commando terroriste islamiste attaque simultanément Paris et Saint-Denis, faisant 131 morts. Dix ans après l'effroi et le traumatisme, des personnes profondément impactées par ces attentats tentent de créer des ponts, des initiatives et des liens pour que l'horreur ne se répète jamais. Ainsi, Georges Salines, père d'une des victimes, et Azdyne Amimour, père de l'un des terroristes, prennent la parole dans des écoles, des prisons Ainsi, Georges Salines et Azdyne Amimour, parents l'un d'une victime, l'autre d'un des terroristes, prennent la parole dans des écoles, des prisons et des séminaires. Pendant son procès, Ali Oulkadi, proche du terroriste Brahim Abdeslam, a, lui, tissé des liens avec des parties civiles. Gaëlle M., quant à elle, a perdu son compagnon au Bataclan et a été grièvement blessée. Elle anime aujourd'hui des ateliers de résilience auprès de personnes détenues ou sous-main de justice.